20 MARS
Mobilisation nationale intersyndicale
Pour l’accès aux soins de toutes et tous
Pour la reconquête de la Sécu
POUR LA RÉGION PACA
MANIFESTATION RÉGIONALE À MARSEILLE
RENDEZ VOUS 10H30 DEVANT LA GARE SAINT CHARLES
LA MANIFESTATION IRA JUSQU A LA PREFECTURE (pensez au pique-nique)
UN BUS PART DE NICE PONT MICHEL (parking du tram ligne 1) à 7H
UN ARRÊT PRÉVU À 7H45 À MANDELIEU LA BOCCA
SORTIE 41 AU ROND POINT ZONE INDUSTRIELLE
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Retraites CSG
Chaque année, la Contribution Sociale Généralisée (CSG) est réévaluée en fonction de l'inflation et des ressources des contribuables. Ce mécanisme vise à ajuster la contribution des retraités au financement de la protection sociale, mais il peut aussi se traduire par des prélèvements plus lourds pour certains seniors. En 2025, une hausse des seuils de revenus fiscaux va modifier la donne. Certains verront leur taux de prélèvement augmenter, tandis que d'autres pourraient en profiter pour payer moins. Ces ajustements concernent plusieurs millions de retraités et peuvent entraîner une baisse significative du montant net de leur pension. Il est donc crucial de bien comprendre les nouveaux seuils et d'anticiper leur impact sur votre budget. Qui est concerné ?
Les nouvelles règles de la CSG en 2025 : quels changements ?
Chaque année, le gouvernement réévalue les seuils de revenus qui déterminent le taux de CSG appliqué aux pensions de retraite. En 2025, cette réévaluation suit l'inflation et augmente de 4,8 %, modifiant ainsi les tranches d'imposition pour les retraités. Si votre revenu fiscal de référence (RFR) reste sous un certain seuil, votre taux de CSG ne changera pas. Mais si votre RFR dépasse la limite, vous pourriez subir un prélèvement plus important.
En pratique, la CSG est appliquée aux retraités selon quatre taux :
- 0 % (exonération) : pour les pensions les plus modestes,
- 3,8 % (taux réduit) : pour les revenus intermédiaires,
- 6,6 % (taux médian) : pour les revenus supérieurs,
- 8,3 % (taux plein) : pour les retraités les plus aisés.
L'effet direct de cette hausse des seuils est qu'un certain nombre de retraités passeront à une tranche supérieure. Par exemple, une personne qui était imposée à 6,6 % en 2024 pourrait voir son taux grimper à 8,3 % en 2025 si son revenu fiscal a augmenté, même légèrement. Finalement, d'après le site Droit-finances.net ce sont surtout les retraités concernés par le à 8,3 %, dont le revenu fiscal de référence figurant sur leur dernier avis d'imposition est supérieur à 26 004 euros pour une personne seule et 39 886 euros pour un couple, qui devraient voir leur pension diminuer et leurs impôts augmenter.
Une baisse de pension pour certains retraités : combien allez-vous perdre ?
Le passage à un taux supérieur se traduit en effet immédiatement par une baisse du montant net perçu chaque mois. Voici un exemple concret pour une pension de 1 800 euros brut par mois :
- Avant 2025 : taux de 6,6 %, soit un prélèvement de 118,80 euros et une pension nette de 1 681,20 euros.
- Après 2025 : passage à 8,3 %, soit un prélèvement de 149,40 euros, pour une pension nette de 1 650,60 euros.
Sur une année, cela représente une perte de 360 euros, une somme non négligeable pour de nombreux retraités. Ce mécanisme touche particulièrement ceux dont les revenus ont légèrement augmenté avec Finalement, d'après le site Droit-finances.net ce sont surtout les retraités concernés par le à 8,3 %, dont le revenu fiscal de référence figurant sur leur dernier avis d'imposition est supérieur à 26 004 euros pour une personne seule et 39 886 euros pour un couple, qui devraient voir leur pension diminuer et leurs impôts augmenter.
Une baisse de pension pour certains retraités : combien allez-vous perdre ?
Le passage à un taux supérieur se traduit en effet immédiatement par une baisse du montant net perçu chaque mois. Voici un exemple concret pour une pension de 1 800 euros brut par mois, selon 20 Minutes :
- Avant 2025 : taux de 6,6 %, soit un prélèvement de 118,80 euros et une pension nette de 1 681,20 euros.
- Après 2025 : passage à 8,3 %, soit un prélèvement de 149,40 euros, pour une pension nette de 1 650,60 euros.
Sur une année, cela représente une perte de 360 euros, une somme non négligeable pour de nombreux retraités. Ce mécanisme touche particulièrement ceux dont les revenus ont légèrement augmenté suite à une revalorisation des pensions ou à des revenus annexes (placements, loyers, etc.).
Factures d'électricité et de gaz : nouvelle hausse des interventions pour impayés Publié le 12 mars 2025
Le médiateur national de l’énergie note, pour 2024, une quatrième année de hausse consécutive des interventions pour des impayés de factures d'électricité et de gaz.
Plus de 1,2 million d'interventions pour impayés ont été opérées par les fournisseurs d’électricité et de gaz en 2024. Dans un communiqué du 6 mars 2025, le médiateur national de l'énergie alerte sur la situation financière de certains ménages.
+24% d'interventions pour impayés en 2024
En cas d'impayés, les fournisseurs d'énergie peuvent procéder à deux types d'intervention : une limitation de la puissance électrique délivrée au foyer ou une coupure de la fourniture d'énergie (gaz ou électricité). L'année 2024 a vu une augmentation de ces deux types d'intervention :
- +25% pour la limitation de la puissance électrique délivrée (937 000 interventions) ;
- +16% pour la coupure de fourniture d’électricité ou de gaz (309 000 interventions).
Au total, l'année 2024 a été marquée par une progression de 24% des interventions pour impayés par rapport à 2023.
Il est désormais possible d'accueillir un animal de compagnie en Ehpad et en Résidence autonomie
Publié le 11 mars 2025 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)
Les résidents d'Ehpad et de Résidence autonomie peuvent désormais accueillir un animal de compagnie. Les conditions d'accueil viennent d'être précisées dans un arrêté du 3 mars 2025.
La loi « Bien vieillir » du 8 avril 2024 permet aux résidents des Ehpad et des Résidences autonomie d’accueillir leur animal de compagnie. L'accueil est possible sous certaines conditions : il faut pouvoir « assurer les besoins » de ces animaux et « respecter les conditions d’hygiène et de sécurité ».